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Simple GBoH : Compte-rendu de bataille : Hydaspe - par BananeDC

Nous sommes à en 326 avant J.C, sur les rives de l'Hydaspe, sur le Territoire de l'actuel Pakistan. Alexandre le Grand se prépare à affronter l'armée indienne de Pôros.
C'est la première fois que les Macédoniens sont confrontés à autant d'éléphants de guerre. On estime leur nombre à environ 200.



Atomm joue les Macédoniens et moi les Indiens. Le premier tour est tiré aux dés, Simple GBoH fait beaucoup plus simple que son papa (GBoA). Et dès le début, les dés sont contre moi ! Voyant que sa cavalerie peut être atteinte dès le premier tour indien par mes éléphants, Seleucos décide sagement de la mettre à l'abri, hors d'atteinte des pachydermes. Le premier tour indien voit tout naturellement avancer le centre indien mené par Pôros lui-même. Par contre il est un peu décalé, pour éviter le contact avec les phalanges de l'aile gauche macédonienne trop tôt !



Les éléphants ont des caractéristiques moyennes. Ils ne cumulent pas leurs forces, mais restent des bêtes pouvant provoquer des carnages si elles sont blessées en devenant folles furieuses. De plus, elles ne rapportent presque rien en terme de points de victoire ! Les sacrifier pour briser les lignes macédoniennes est donc le but... Mais qui en aurait douté ?



Le tour 2 est court-circuité par Alexandre, fort de son énorme caractéristique  en commandement. Le débordement est quasi inévitable, alors que les charriots indiens n'ont même pas démarré !



Les premiers éléments de cavalerie lourde arrivent au contact des charriots (c'est bien parce que c'est la première cible possible, car n'importe quoi aurait fait leur affaire, vu la puissance des compagnons). Le charriot à l'extrême gauche prend 2 points de cohésion, et l'unité de cavalerie 1 (l'honneur est sauf).




L'armée indienne réagit en faisant le vide. Sa cavalerie se déplace, prête à recevoir Alexandre (gloups...), mais surtout en évitant d'avoir trop d'unités que les Macédoniens pourraient mettre en charpie.



Les charriots quand à eux, foncent droit devant. Vu leur faible capacité à manoeuvrer, de toute façon, ils sont là pour ça.



L'espoir fait vivre : 2 des unités de charriots s'en prennent à une unité de cavalerie macédonienne.




Le dé est impitoyable...



Pas de perte pour le Macédonien et 2 points de cohésion perdus en plus pour le charriot déjà touché.



Le dé est impitoyable (le retour)...



...Et un charriot disparait.



Alexandre décide de passer aux choses sérieuses, ayant une nouvelle fois pris le tour de l'Indien.



La ligne d'infanterie est enfoncée par derrière (et ça fait mal quand c'est Alexandre et ses compagnons).



Les éléphants arrivent enfin au contact de leurs premières cibles. Sans grande réussite car les premiers points de cohésion perdus sont pour eux.



Vue d'ensemble de la ligne d'éléphants. Les phalanges, oursins de sarisses, impressionnent déjà Pôros.



Enfin les premières pertes pour le Macédonien : une unité de tirailleurs est piétinée par les monstres !



De l'autre côté, c'est du grand spectacle. La ligne d'infanterie indienne s'apprête à vivre un très mauvais moment.



Alexandre décide de s'occuper en premier des restes de la cavalerie adverse.



Le destin funeste d'un général indien : j'obtiens un 0 puis un 1 et il quitte ce monde.
Les charriots, qui étaient déjà hors du rayon de commandement, n'ont plus de chef !



Quand au reste de la cavalerie, il est tout simplement exterminé, Alexandre ne fait pas dans le détail...



Oui, ça fait vide tout à coup : l'aile gauche indienne a disparu. Broyée.



L'infanterie, ne voulant pas connaitre le même sort, opte pour la fuite en avant en laissant un os à ronger à Alexandre (les malheureux !). Mais le répit ne sera évidemment que de courte durée.



Et les éléphants arrivent là où ça pique. Les hypaspistes offrent une résistance acharnée et font beaucoup de dégâts à l'aile gauche de Pôros.



Quand aux phalanges, seule la rage des éléphants blessés par des jets de javelots permet d'emporter quelques-uns de ces glorieux soldats avec eux dans la mort.



La fin de partie met fin au calvaire indien. Un truc comme 93 points de déroute contre 12... No comment !




Le général macédonien s'étant mis à l'abri au premier tour n'aura même pas eu à intervenir !
La vue d'ensemble ci-dessus montre à quel point l'armée d'Alexandre est résistante.
Vivement la prochaine ! Un jeu qui bouge, tout en restant copieux : le bon équilibre.










11/02/2010

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